Qualité de l’air

L’air que nous respirons, qu’il soit extérieur ou intérieur, est susceptible d’être pollué par des substances chimiques, des bio-contaminants ou des particules et fibres pouvant nuire à la santé. Il est primordial d’identifier et de limiter les sources de pollution de l’air pour des enjeux évidents de santé publique.

Les thèmes de l'engagement

Qu’il s’agisse de l’air extérieur, ou de celui des environnements clos, l’air est susceptible d’être pollués par diverses sources de pollution, qui peuvent nuire à la santé des habitants. Il est donc important de limiter les sources de pollution de l’air et de sensibiliser les usagers sur ces questions.

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Le contexte général

Le contexte général

L’air, qu’il s’agisse de l’air extérieur ou de celui des environnements clos, est susceptible d’être pollué par des substances chimiques, des bio-contaminants ou des particules et fibres pouvant nuire à la santé. Ces polluants peuvent être d’origine naturelle (pollens, émissions des volcans, etc.), ou être liés à l’activité humaine (particules issues des activités industrielles, de l’agriculture ou du transport routier, composés organiques volatils émis par les matériaux de construction, etc.). Pour l’air intérieur, la nature des polluants dépend notamment des caractéristiques du bâti, des activités et des comportements (tabac, bricolage, peinture, etc.). A l’extérieur, les activités émettrices de polluants, comme les activités industrielles, les transports, le chauffage des bâtiments, l’agriculture influencent également la composition chimique des émissions. La qualité de l’air fait l’objet de préoccupations depuis plusieurs années et apparaît aujourd’hui comme un enjeu majeur de santé publique.

Le contexte métropolitain

Le contexte général

Le contexte de la métropole d’Orléans sur cette thématique relève des points suivants :
Lien entre les émissions des réseaux biomasses et l’exposition des populations.
Quand un aménageur construit un quartier, il faudrait qu’il réalise un travail de surexposition, a minima pour les établissements sensibles. Sinon, il doit prendre en compte une cartographie croisée de la population exposée à des polluants dans l’air. Si le promoteur voit qu’il se trouve dans cette zone, alors il lui faut réaliser une étude plus poussée (voir carte dans le diagnostic du PCAET).
Nombre de capteurs / analyseur à l’échelle d’un quartier : il faut alimenter le réseau de capteurs pour suivre la qualité de l’air secteur par secteur.
A l’échelle des bâtiments, entrée par la santé :
Qualité de l’air intérieur : accompagnement sur l’usage du bâtiment auprès des usagers sur l’utilisation, apporter une attention particulière aux bâtiments accueillant les enfants
Qualité de l’air extérieur : pollution liée au chauffage bois individuels. Il faut obliger sur les rénovations à avoir des campagnes de remplacement.

Quelques bonnes questions à se poser

Le contexte général
  • Les actions mises en place permettent-elles d’atteindre les objectifs fixés par la réglementation européenne sur l’ensemble des polluants (ozone, NO2, particules fines, …) ?
  • Les actions mises en place préservent-elles la qualité de l’air intérieur des locaux ?